Appello per l’eliminazione dei debiti – prima parte
Dal 1971 le monete non sono più garantite, né sostanzialmente, né formalmente, dalle fantomatiche riserve auree; esse sono garantite dalle attività produttive dei rispettivi popoli e quindi degli Stati che li rappresentano; le monete sono quindi “di proprietà” degli Stati che le garantiscono. Le Costituzioni nazionali sanciscono più o meno esplicitamente questo incontrovertibile principio.
Le banche centrali di emissione nazionali sono società private, variamente camuffate da società pubbliche; esse, con la complicità dei politicanti, si sono appropriate del valore delle monete emesse, aggirando le Costituzioni nazionali ed indebitando subdolamente Stati, aziende e cittadini.
Con l’entrata in vigore del trattato di Maastricht la BCE, banca privata somma delle banche centrali nazionali private, ha assunto la piena proprietà della moneta al momento dell’emissione, in violazione delle varie Costituzioni nazionali.
La costituzione europea non costituisce altro che il tentativo della BCE di eliminare gli ostacoli che le Costituzioni nazionali frappongono al raggiungimento del pieno potere monetario, senza garanzie, senza responsabilità, senza controllo, soffocando sempre più gli Europei nei debiti.
I Popoli europei non conoscono questi semplici concetti perché il sistema bancario, attraverso i politicanti, i media, le università e le multinazionali, glieli ha sottratti. È per questo motivo che il Popolo spagnolo ha ratificato la costituzione europea. Il 29 maggio 2005 i Francesi voteranno per la sua ratifica. Se voteranno SI perderanno formalmente, oltre che sostanzialmente, il potere monetario ed il conforto della Loro Costituzione nazionale.
Invitiamo pertanto i Cittadini francesi a recarsi alle urne e VOTARE NO alla ratifica della costituzione europea, per Loro stessi, per i Loro figli, per tutti i popoli europei.
La seconda parte dell’appello sarà redatta in funzione dell’esito della consultazione francese.
Appel pour l'élimination des dettes - partie premier
Depuis 1971 les monnaies ne sont plus garanties, ni substantiellement, ni formellement, des réserves d'ores fantôme; elles sont garantis par les activités productives des peuples respectifs et ensuite des État qui les représentent; les monnaies sont donc "de propriété" des État qui les garantissent. Les Constitutions nationales sanctionnent ce début incontestable plus ou moins explicitement.
Les banques centrales d'émission sont sociétés privées, différemment camouflées par sociétés publiques; elles, avec la complicité des politiciens, elles se sont appropriées de la valeur des monnaies émises, en tournant les Constitutions nationales et en endettant sournoisement État, industries et citoyens.
Avec l'entrée en vigueur du traité de Maastricht le BCE, banque privée somme des banques centrales nationales privées a assumé la crue propriété de la monnaie au moment de l'émission, en violation des différentes Constitutions nationales.
La constitution européenne ne constitue pas autre que la tentative du BCE d'éliminer les obstacles qui les Constitutions nationales interposent à la réalisation du pouvoir monétaire plein, sans garanties, sans responsabilité, sans contrôle, en étouffant de plus en plus les Européens dans les dettes.
Les Peuples européens ne connaissent pas ces simple idées parce que le système bancaire, à travers les politiciens, les médias, les universités et les multinational, il les lui a soustraits. Il est pour ce motif que le Peuple espagnol a ratifié la constitution européenne. Le 29 mai 2005 les Français voteront pour sa ratification. Si ils votent OUI se perdront formellement, au-delà que substantiellement, le pouvoir monétaire et le réconfort de Leur Constitution nationale.
Nous invitons donc les Français Citadin à se rendre aux urnes et VOTER NON à la ratification de la constitution européenne, pour Eux mêmes, pour Leurs fils, pour tous les peuples européens.
La second partie de l'appel sera rédigée après le résultat de la consultation française.